Le mot de la Présidente

L'AMAF a vu le jour, il y a maintenant 10 ans. Depuis l'origine, nous oeuvrons pour renforcer la solidarité entre les peuples et agissons pour faciliter les échanges culturels, pour faire évoluer les mentalités, pour améliorer la compréhension entre les communautés et promouvoir la paix. Nous permettons ainsi à chaque citoyen de s’investir collectivement pour défendre l’égalité et la justice dans le monde.

La tâche ne fût pas toujours facile mais jamais notre équipe de bénévoles n'a douté. Au fil de ces années, nous avons bâti de multiples rencontres culturelles, porté de nombreux projets économiques tant en France qu'en Afrique, fait entendre notre voix lors de colloques à l'étranger. Nous cloturons l'année 2008 avec édition de notre 1er calendrier et l'acceuil d'une délégation de femmes d'action venues d'Afrique et du Moyen-orient pour rencontrer aussi bien les chefs d'entreprises, que les femmes et les jeunes de l'agglomération. En 2009, nous organiserons le 1er congrès mondial des femmes d'action et il se déroulera à Lyon !

Notre association a pour ambition d’apporter sa contribution à l’élaboration de liens durables entre la France, le continent africain, les pays arabes et le Moyen-Orient. Elle développe des projets économiques destinés à améliorer les conditions de vie des populations locales et des actions concrètes en France afin de promouvoir la paix, la tolérance, le respect des différences.

Je constate la variété avec laquelle la vie humaine se manifeste, dans une multiplicité de dons caractéristiques, propres aux diverses cultures et traditions. C’est une multiplicité qui est appelée à s’enrichir par la confrontation, le dialogue pour la joie de tous. Je suis fière que l’AMAF contribue à l’élaboration d’une paix partagée.

Delphine BAYA

La présidente de l'AMAF, Delphine Baya  primée  dans le cadre de la semaine de la promotion de l'innovation et de l'entreprenariat féminin. (lire les articles ci-dessous)

la-reconnaissance-du-travail.pdf

ARTICLE_DE_PRESSE.pdf

le_progres_8_fevrier_2012.pdf